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Writing for freedom
3 décembre 2011

Chapitre 1

La seule chose dont je me souvienne fut que j'étais toute seule. Seule. Sur la route, étendue sur le sol.Le sol? La route? Je ne me souviens de rien. Juste de l'impact. La voiture de mes parents , dont eux et moi dedans. Puis l'autre voiture,ma voiture, l'impact,le boum, le vide, le silence. La mort. Quand on regarde deux personnes sans vie, surtout ses parents, on ressent l'horreur. Et là , tu sais que cette image sera à jamais gravée dans ta mémoire.

***

Amélia fut réveillée par le même et horrible cauchemar qu'elle faisait toutes les nuits depuis 3 mois. La nuits du tragique accidents de ses parents, George et Mérédith, et aussi miraculeux soit-il, Amélia fut la seule épargnée à la mort certaine de l'impact des deux voitures. En sueur , Amélia se leva, comme toutes les nuits pour boire un bon verre de lait récnfortant. Vêtue de son pyjama , un short et un chandail trop grand, Amélia descendit l'escalier de la maison de sa grand-mère, Carmen. Sans bruit , elle prit un verre dans l'armoire à côté du réfrigérateur et sortie le lait crémeux. Une fois calmée et rassasiée, Amélia remonta se coucher. Aussitôt fut-elle couchée, elle sombra dans un profond sommeil , qui elle l'espéra , ne redeviendra pas son horrible cauchemar.

Cher journal,

Cela fait maintenant 3 mois que je fais toujours le même cauchemar. Ma grand-mère me dit que demain est un autre jour.Peut-être, mais rien n'a encore effacer mes souvenirs de ce sinistre soir, là où mes parents...Tu sais quoi. Il m'ait insupportable de me lever encore ce matin pour me rendre à l'école. À peine deux semaines que le collège a commencer et je suis déjà démoralisée de la terrible année qui se dresse devant moi. Le travaille n'arrange rien, pour oublier. Il me met juste un poids supplémentaire sur les épaules et je crois que cette année, je vais flanchée.

Huit heures annonçait la pendule d'Amélia. Que quelques minutes avant que la navette passe et encore quelques autres minutes avant d'arriver à l'école et quelques autres minutes encore pour que la vie continue et la rendre invisible aux yeux de tous. Amélia se contempla dans le miroir, elle avait l'air triste ( ce qui est normal ,vue les circonstances), elle était simplement vêtue d'un jeans skinny et d'un chandail de laine brune trop grand qui jadis appartenait à sa mère. Pour coiffure ces cheveux retombait sur ses épaules , ils sont lisse.Si elle n'aurait pas cet air triste , elle serait vraiment à tomber. Elle pris son sac de cour et partie ver la navette. Comme nous sommes début décembre , la neige commençait à tomber doucement, mais l'air n'était pas frisquet.Elle était fraiche, comme l'aimait Amélia. La navette arriva et elle s'assied dans son banc habituel sous le regard insistant des autres élèves qui lui disait " encore cet air de fillette triste".Lorsqu'elle croisait le regard de certains , elle les défiait de la regarder plus longtemps. En effet , ses yeux sont d'une couleure rare, d'une couleur cuivrée. La plupart des gens cesseait immédiatement de la regarder quand ils tombaient sur ses yeux. Ce matin là, une nouvelle tête masculine était assise dans son banc. Elle rencontra ses yeux, prête à le defier, une fois de plus. Tout de suite , elle eue un sursaut en croisant les prunelle de ce garçon. Il avait les yeux d'un vert profond , mais une teinte cuivrée brillait à l'intérieur.

Souriant le garçon lui dit:

- Bonjour, tu t'asseois?

- Heum, d'accord.

Elle avait du mal à quitter ses yeux des siens. Le garçon semblait parfaitement alaise.

- Quel est ton nom?

-Amélia, Amélia Ness'Blak

Pour la première fois, le garçon détourna les yeux. Son sourire s'effaça, mais revint aussitôt.

-Enchanté, Amélia. Pour ma part,je m'apelle Jack O'ness.

Amélia fut parcourue d'un étrange frisson. Son nom lui disait quelque chose. Mais quoi? Ses parents parlaient rarement de leurs origines. Bizarrement, tout deux avaient "ness" dans le nom, qu'est-ce que cela pouvait bien signifier? Ses inquiétudes furent vite dissipées, ils arrivèrent à l'école.

 

 

Jack n'arrivait pas à se sortir l'angélique visage d'Amélia de sa tête. Peut-être ne connaissait-elle pas ses origines,sa lignée. Jack l'espèrait, Si elle le savait qui sait ce qui lui arriverait. Elle se différait de toutes les personnes que Jack connaissait de sa lignée. Était-elle demi-sang? Une croisée? Une exilée? Jack ne voulait pas lui posée la question. Peut-être son apparence n'était qu'une ruse. La cloche de la fin des cours sonna enfin. Tiré de ses rêveries, Jack sortit rapidement de sa classe et heurta, aussi bête soit-il, Amélia. Celle-ci avait un air impénétrable, elle regardait Jack avec méfiance. Savait-elle qui il était?

-Regarde où tu vas, finit-elle par maugréer.

-Oui, oui. Je eh, excuse moi. Et Jack fila en vitesse sous le regard incrédule d'Amélia.Jamais personne ne s'avait excusé avant Jack.

Toujours en courant vers sa maison, Jack se revit heurter Amélia. L'impression qu'il avait eu. Le sentiment qu'il reconnaissait à toutes les fois qu'il heurtait une personne de son espèce, mais quand il avait heurter Amélia, la Terre aurait pu tomber, éclater. Quand il arriva, la porte s'ouvrie d'elle même quand il cria:

- Papa! C'est elle, elle est bien des nôtres.

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